Salia arriva devant la tanière de la meute. Rien ne bougeait, pas un bruit. Elle alla s’asseoir à côté de l’entrée, bien en vue. Elle resta ainsi pendant quelques heures puis des grognements autour d’elle se firent entendre. Elle ne fit pas un geste, un grand mâle au pelage noir s’avança, le mâle alpha, le chef de la meute. A quelques pas derrière, une louve grise faisait les cents pas, inquiète. Le loup s’arrêta à quelques pas de la demi-déesse, toujours le grognement menaçant dans la gorge.
Ils se regardèrent quelques secondes dans les yeux, puis Salia baissa son regard en signe de soumission. Le carnivore arrêta sa voix et s’assit. La tension de la meute s’évanouit et tout le monde reprit ses activités. La louve grise se précipita à l’intérieur du trou. On entendit quelques jappements à l’intérieur puis les bruits de petits pas se précipitant à l’extérieur, Salia toujours la tête baissée vit sortir trois louveteaux, un blanc et gris, un gris foncé et le troisième noir au poitrail blanc. Les louveteaux se bousculèrent avant que leur père, d’un aboiement bref, les rappela à l’ordre.
Les petits loups se tournèrent enfin vers Salia, qui n’avait toujours pas changer de position. Les deux gris se précipitèrent sous la protection de leur père quand au noir, il vint se blottir dans les bras de la guerrière :
- Bonjour Arès ! lui dit-elle
Le regard du louveteau se mit à briller d’une étrange lueur, ainsi continua le pacte entre Salia et son père…
Ils se regardèrent quelques secondes dans les yeux, puis Salia baissa son regard en signe de soumission. Le carnivore arrêta sa voix et s’assit. La tension de la meute s’évanouit et tout le monde reprit ses activités. La louve grise se précipita à l’intérieur du trou. On entendit quelques jappements à l’intérieur puis les bruits de petits pas se précipitant à l’extérieur, Salia toujours la tête baissée vit sortir trois louveteaux, un blanc et gris, un gris foncé et le troisième noir au poitrail blanc. Les louveteaux se bousculèrent avant que leur père, d’un aboiement bref, les rappela à l’ordre.
Les petits loups se tournèrent enfin vers Salia, qui n’avait toujours pas changer de position. Les deux gris se précipitèrent sous la protection de leur père quand au noir, il vint se blottir dans les bras de la guerrière :
- Bonjour Arès ! lui dit-elle
Le regard du louveteau se mit à briller d’une étrange lueur, ainsi continua le pacte entre Salia et son père…